ALORS ET MAINTENANT

Deux soldats canadiens portant un respirateur examinent un Lee-Enfield, en mars 1917. [PHOTO : BIBLIOTHÈQUE ET ARCHIVES CANADA — PA001027]

Deux soldats canadiens portant un respirateur examinent un Lee-Enfield, en mars 1917.
PHOTO : BIBLIOTHÈQUE ET ARCHIVES CANADA — PA001027

MASQUES À GAZ :

DU MOUCHOIR AU RESPIRATEUR

Le pire à la guerre comprend certainement la possibilité de gaz et d’autres armes chimiques mortelles. Les respirateurs et les cagoules ont sauvé des vies, mais on y a chaud et, au champ de bataille, ce n’est pas facile de s’y habituer. Les mouchoirs trempés d’urine ont sauvé des vies à Ypres, en 1915.

MOUCHOIR TREMPÉ D’URINE. [PHOTO : MUSÉE CANADIEN DE LA GUERRE]

MOUCHOIR TREMPÉ D’URINE.
PHOTO : MUSÉE CANADIEN DE LA GUERRE
MASQUE À GAZ AVEC CAGOULE EN TOILE. [PHOTO : MUSÉE CANADIEN DE LA GUERRE]

MASQUE À GAZ AVEC CAGOULE EN TOILE.
PHOTO : MUSÉE CANADIEN DE LA GUERRE
PETIT RESPIRATEUR À BOITIER. [PHOTO : MUSÉE CANADIEN DE LA GUERRE]

PETIT RESPIRATEUR À BOITIER.
PHOTO : MUSÉE CANADIEN DE LA GUERRE
Un soldat de la Grande Guerre et son cheval (ci-contre) ressemblant à des extraterrestres. [PHOTO : BIBLIOTHÈQUE ET ARCHIVES CANADA—PA005001]

Un soldat de la Grande Guerre et son cheval (ci-contre) ressemblant à des extraterrestres.
PHOTO : BIBLIOTHÈQUE ET ARCHIVES CANADA—PA005001
Un soldat de l’Unité interarmées d’intervention du Canada. [PHOTO : DÉFENSE NATIONALE]

Un soldat de l’Unité interarmées d’intervention du Canada.
PHOTO : DÉFENSE NATIONALE


ARMES ÀFEU :

DU ROSS AU FUSILD’ASSAUT MODERNE

Baptisé d’après son créateur, sir Charles Ross, le fusil Ross ne marchait pas bien dans les conditions boueuses des champs de bataille pendant la Première Guerre mondiale, mais beaucoup de gens le trouvaient bon pour le tir à la cible. Il a été abandonné ultérieurement par les soldats qui préféraient le Lee-Enfield britannique. Les fusils de chasse, y compris ceux pour la chasse à l’éléphant, ont servi aux tireurs d’élite à la Grande Guerre jusqu’à ce que les fusils de l’armée soient modifiés. La cible était touchée plus facilement grâce à une meilleure optique et aux pièces de précision. La Lewis, quant à elle, était considérée comme la mitrailleuse la plus efficace de la Première Guerre mondiale.

FUSIL ROSS. [PHOTO : MUSÉE CANADIEN DE LA GUERRE]

FUSIL ROSS.
PHOTO : MUSÉE CANADIEN DE LA GUERRE
FUSIL LEE-ENFIELD. [PHOTO : MUSÉE CANADIEN DE LA GUERRE]

FUSIL LEE-ENFIELD.
PHOTO : MUSÉE CANADIEN DE LA GUERRE
SNIPER MKIII. [PHOTO : MUSÉE CANADIEN DE LA GUERRE]

SNIPER MKIII.
PHOTO : MUSÉE CANADIEN DE LA GUERRE
MITRAILLEUSE LEWIS. [PHOTO : MUSÉE CANADIEN DE LA GUERRE]

MITRAILLEUSE LEWIS.
PHOTO : MUSÉE CANADIEN DE LA GUERRE
FUSIL DE TIREUR D’ÉLITE MODERNE. [PHOTO : MUSÉE CANADIEN DE LA GUERRE]

FUSIL DE TIREUR D’ÉLITE MODERNE.
PHOTO : MUSÉE CANADIEN DE LA GUERRE
FUSIL D’ASSAUT C7A2. [PHOTO : KELLY STUMPF, COLT CANADA]

FUSIL D’ASSAUT C7A2.
PHOTO : KELLY STUMPF, COLT CANADA


GRENADES :

DES BOITES À CONFITURE AUX GROSSES EXPLOSIONS

La bombe boite à confiture avait exactement l’air de ce que dit son nom, mais plutôt que d’être pleine de marmelade, la boite était remplie d’explosifs et de vilaines pièces : souvent des billes de roulement. Des boites de conserve pleines de fulmicoton et de ferraille ont aussi été lancées à la Grande Guerre.  Des dizaines de grenades ont été créées pendant la Première Guerre mondiale, la plus commune étant la bombe Mills No 5, introduite en 1915. Elle pesait à peu près une livre et avait un extérieur dentelé pour maximiser la fragmentation. La C13 moderne, sphérique et plus petite, qu’on distribue ordinairement dans l’armée canadienne, a un rayon d’efficacité de 15 mètres.

GRENADE BOITE DE CONFITURE. [PHOTO : MUSÉE CANADIEN DE LA GUERRE]

GRENADE BOITE DE CONFITURE.
PHOTO : MUSÉE CANADIEN DE LA GUERRE
GRENADE MILLS. [PHOTO : MUSÉE CANADIEN DE LA GUERRE]

GRENADE MILLS.
PHOTO : MUSÉE CANADIEN DE LA GUERRE
GRENADE C13. [PHOTO: NATIONAL DEFENCE]

GRENADE C13.
PHOTO: NATIONAL DEFENCE
Search
Connect
Listen to the Podcast

Leave a Reply